Présentation

Le cabinet Beau de Loménie a été fondé en 1930 par Gilbert Beau de Loménie et André Armengaud.

Dès son origine, le cabinet s’illustre par son caractère novateur et pionnier en utilisant les technologies les plus avancées de son époque. Se démarquant de la concurrence, le cabinet Beau de Loménie est le premier cabinet de Conseils en Propriété Industrielle à mettre en place une indexation documentaire exhaustive des brevets et à développer sa propre classification technique. A une époque où aucune base de données n’existe dans le domaine des brevets, ce système de collecte des données et d’archivage permet au cabinet de proposer des services exclusifs de recherches d’une très grande qualité.

Sous l’impulsion d’André Armengaud, sénateur représentant les français de l’étranger, le cabinet Beau de Loménie mise également dès les années 1930 sur son rayonnement international. Il développe notamment de très fortes relations en Europe, bien sur, mais également au-delà, en particulier aux États-Unis.

Sous l’impulsion de la deuxième génération d’associés du Cabinet, le Cabinet Beau de Loménie poursuit sa politique d’innovation. Dans les années 1960, afin de faciliter la gestion du paiement des annuités, le Cabinet est l’un des premiers Cabinets de Conseils en Propriété Industrielle à s’équiper d’un ordinateur. Un système informatique exclusif dédié à l’administration des droits de propriété industrielle (brevets, marques, dessins & modèles) est développé également en interne.

Dès le début des années 1960, le Cabinet Beau de Loménie développe activement un réseau international structuré de correspondants étrangers et établit des relations étroites dans toute l’Asie, notamment au Japon.

En 1968, le Cabinet ouvre sa première agence régionale française à Marseille, avant de s’implanter à Lyon en 1972.

Dans les années 1980, le cabinet Beau de Loménie poursuit sa volonté de renforcer sa proximité avec ses clients dans toute la France. Une nouvelle agence régionale française est créée à Lille.

Afin de suivre les évolutions d’une matière dont l’internationalisation n’a de cesse de s’accélérer, la génération suivante d’associés s’attelle à développer la dimension européenne du cabinet. Dans les années 1990, le cabinet s’implante en Allemagne à Munich, siège de l’Office Européen des Brevets. A l’aube des années 2000, le cabinet renforce son positionnement européen en Allemagne (Duisburg) et au Royaume Uni (Birmingham).

Le cabinet poursuit également sa logique d’ouverture sur le monde en intégrant au début des années 1990 du personnel de langue et de culture japonaise, dédié à la clientèle et aux professionnels japonais puis en procédant de même en 2009 pour la clientèle et les professionnels chinois, tout en recrutant également des conseils d’horizons divers afin de renforcer le caractère pluridisciplinaire et international de ses équipes.

Aujourd’hui, le cabinet Beau de Loménie perpétue cette tradition d’innovation et d’internationalisation.

Le cabinet reste plus que jamais attentif aux dernières évolutions de la technologie pour faire bénéficier ses clients des outils de gestion les plus modernes et efficaces. Il développe ainsi des services de consultation en ligne de portefeuilles des droits de propriété industrielle (brevets, marques, dessins et modèles, droits d’auteurs, noms de domaine), de recherche documentaire et de veille technologique. L’outil BDL-IP Access a ainsi été développé et mis à disposition des clients du cabinet pour les accompagner au quotidien dans leurs démarches de protection et d’optimisation de leurs droits de propriété industrielle.

Le cabinet a également poursuivi sa politique de développement à l’international en consolidant année après année son réseau de correspondants étrangers à travers le monde pour répondre aux besoins de ses clients. Outre l’Europe et le Japon, les équipes du cabinet ont notamment développé et consolidé les relations déjà tissées depuis des années avec les États-Unis, la Chine et la Corée. La génération actuelle d’associés a ainsi mis en place une vraie stratégie lui permettant de rester à la pointe des innovations et des évolutions du secteur de la propriété industrielle. Particulièrement actifs dans les principales associations professionnelles, ils rencontrent, une ou plusieurs fois par an, chacun des correspondants avec lesquels ils travaillent à travers le monde afin de s’assurer d’une qualité de services optimale.